De jeu et de sang
A la poésie des regards où l'on ne perçoit pas l'autre, le langage du cœur, substitué à tout esprit, cette apparence qui fait vibrer, rien d'étonnant si les réminiscences s'interposent. Quelques instants, les silences, laisser couler les jours, ravivent l'acide dans mes veines ; de feu et de sang. De jeu et de sang. Par ton passage, je suppose plus que jamais l'existence de cette force, guide des échecs ou de reconstructions. Tant de secrets que les murmures ne dévoilent plus, remplacés par cette lumière, me donnent le sourire, car je ne connaîtrais pas les infinis regrets.
(avril 2008)