7 avril 2008
De jeu et de sang
A la poésie des regards où l'on ne perçoit pas l'autre, le langage du cœur, substitué à tout esprit, cette apparence qui fait vibrer, rien d'étonnant si les réminiscences s'interposent. Quelques instants, les silences, laisser couler les jours, ravivent...